En voyant le titre, vous pensez peut-être que je vais vous parler d'un bricolage créatif trouvé dans le magazine... Non, je veux juste vous montrer quelques pages qui ressortent d'autant plus dans le journal que, numéro de printemps oblige, on y assiste à une débauche de couleurs fraîches et acidulées...

Et là, au détour d'une page, c'est l'éblouissement du BLANC , nous sommes transportés d'un coup de baguette magique à Copenhague...

...Pureté, calme et beauté...

Pour un petit déjeuner gourmand, pourquoi ne pas essayer ce Pain suédois ? La recette simplissime, réalisable même par des enfants, ne nécessite ni pétrissage, ni temps de repos, le plus long est de réunir les nombreux ingrédients qui le rendent si savoureux, ensuite on mélange, on verse dans un moule à cake, on met au four... A faire idéalement le vendredi soir pour le trouver tout prêt pour le petit déjeuner du samedi matin et être prêt à une belle journée d'activités sportives...ou pas...

C'est une recette que La Belle au blé dormant a adapté d'après La cuisine de Garance, j'y ai mis mon grain de sel et, je vous livre le résultat de mon expérience:

La première fois que j'ai fait ce pain, il me manquait deux ingrédients: les graines de millet et les flocons de sarrasin que j'avais remplacés par des flocons de quinoa uniquement en déco sur le dessus du pain; la seconde fois, j'avais tous les ingrédients.

Eh bien, j'ai préféré la première fois ! la pâte était plus moelleuse et après cuisson, la mie aussi était plus moelleuse.Les graines de millet croquent sous la dent et j'ai moins aimé. D'autre part, je l'ai fait avec des yaourts de brebis nature et non de soja, ensuite La Belle propose de remplacer la mélasse par du miel : je ne suis pas d'accord, la mélasse a une saveur inimitable et rien ne peut  la remplacer... Maintenant c'est à vous de voir et d'adapter à vos goûts ! Il me semble que la cuillère de sucre complet n'est peut-être pas indispensable, abricots et raisins secs ayant un bon pouvoir sucrant...

C'est un délice avec une fine couche de beurre salé ou non et c'est aussi délicieux tout seul...

*****  Vous trouverez la recette à la date du 30 janvier  ici    *****

La journée est si radieuse que j'ai dressé la table dehors...

avec un parasol...

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Douceur, tendresse, nostalgie...usés par tant de jeux et de câlins,

confidents lointains de mes secrets d'enfant,

mes nounours me sont précieux...

L'un d'eux était à un de mes frères

JP, reconnais-tu le tien ? Le petit blond ou le gris aux yeux bleus ?

Le plus grand, c'est le mien...

Ces deux-là sont beaucoup plus récents, mais non moins chers à mon coeur. Le plus grand, blond, je l'ai acheté il y a quelques années, dans un grand magasin parisien, il a une bouille d'ours ancien et l'autre roux foncé, c'est Maman qui, à 75 ans passés, l'utilisait en gri-gri sur  son sac à main...

♥♥♥

Peut-être vous demandez-vous pourquoi j'ai appelé mon blog "Rose & Gris" ? Lorsque nous avons emménagé dans notre maison, le rose était déjà présent au jardin avec hortensias, roses, primevères et lauriers-roses qui déclinent toutes les nuances de cette couleur bonne-mine et j'ai eu envie de mettre du rose à l'intérieur aussi. Il se marie si bien avec le gris des boiseries.... C'est ainsi que "Rose & Gris " s'est imposé comme une évidence...

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En plein coeur de l'hiver, c'est justement le moment de préparer les confitures d'agrumes, les fruits sont savoureux et c'est une façon d'inviter le soleil à sa table, quoi de mieux pour débuter une journée ?

Marmelade de pamplemousse rose et orange sanguine bio

Prendre 4 pamplemousses roses et une orange sanguine (pour renforcer la couleur),des fruits bio (très important puisqu'on utilise tout le zeste), les peler, enlever soigneusement toute la partie blanche des zestes ainsi que le maximum de peaux sur la chair, recueillir la chair  à vif et le jus qui s'en échappe, tailler  les zestes en minuscules bâtonnets d'1 mm de large sur 1,5 à 2 cm (ou passer au robot, c'est moins joli après, mais c'est plus rapide...J'avoue que c'est ce que j'ai fait là !) Peser chair, jus et zestes et ajouter le même poids d'eau pure. Laisser reposer 24 H.

Le lendemain, ajouter 700g de sucre blond bio en poudre par kilo de préparation, porter à ébullition et laisser cuire 45 à 60 mn. Si la confiture vous paraît trop liquide, rajouter en remuant bien un peu d'agar-agar plutôt que de prolonger la cuisson. A titre indicatif j'avais 2 kg de fruits + eau, j'ai mis 1,4 kg de sucre et 3 g d'agar-agar.

Mettre immédiatement en pots en remplissant à ras bord, visser immédiatement les couvercles et retourner les pots jusqu'à refroidissement.

Idéalement laisser reposer huit jours avant de déguster et si comme moi, vous avez un pot qui n'est pas rempli complètement, alors mettez-le au réfrigérateur... C'est plus difficile d'attendre quand on prend un coup de soleil chaque fois qu'on ouvre la porte du dit réfrigérateur... A vous de voir...

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Il y a quelque temps, une amie m'a demandé si j'avais lu ce livre, comme elle me connaît bien, je me suis dit qu'il devrait me plaire...

Ouvrir un restaurant  ? Quelle idée... C'est pourtant ce que va faire Myriam en mentant avec assurance à son banquier car elle n'a aucune expérience de restauration ni de gestion. Ce restaurant, ce sera aussi sa maison, car elle n'a pas les moyens de se loger autrement... Eviter la faillite, vivre en clandestine et garder le secret sur un itinéraire trop chaotique constituent l'exercice auquel elle se livre chaque jour.

La narration est morcelée entre le quotidien au restaurant, ses cauchemars et son passé douloureux. Bannie de chez elle pour une faute inavouable, Myriam est une collectionneuse de contradictions, un oxymore ambulant. Une âme errante qui n'aspire qu'à la stabilité, une téméraire qui déteste qu'on la surprenne...

L'auteur croque une galerie de personnages attachants qui gravite autour de Myriam, Vincent le fleuriste amoureux, Ben le serveur idéal, les jeunes lycéennes philosophes, les enfants du quartier, son frère Charles, son fils Hugo, qu'elle n'a pas vu depuis six ans absent physiquement mais si présent en filigrane dans sa vie...Tous participent de la même comédie humaine, lumineuse, mystérieuse: le monde d'Agnès Desarthe.

Dire que j'ai aimé ce livre serait bien faible ! J'ai adoré, j'ai dévoré ce portrait inoubliable d'une femme bouleversante aussi intransigeante avec elle-même qu'elle est généreuse avec les autres. Et elle est généreuse ! iI faut l'être pour cuisiner pour des inconnus "avec amour et par amour"... C'est une réflexion profonde sur la vie. L'écriture imagée d'Agnès Desarthe  se savoure comme un de ces plats évoqués dans l'histoire...C'est un livre plein de saveurs, d'odeurs, envoûtant, féérique...Il s'appelle "Mangez-moi" , évocation d'Alice au Pays des Merveilles, il aurait pu s'appeler "Aimez-moi". Vous l'aimerez ...

Merci, Michèle, de m'avoir conseillé ce bijou...

J'aime toutes les fleurs...ou presque, les sauvages des champs et des bas-côtés, les fleurs de montagne, les fleurs de jardin, les fleurs cultivées...

Mais chaque fois que j'ai la chance d'avoir un bouquet de grandes tulipes, je me dis que rien n'égale  ces fleurs qui continuent de grandir de jour en jour, pour finir par s'alanguir par dessus le bord du vase avec une grâce et un abandon  irrésistibles...

Douce journée...

Pause cocooning avec un thé gourmand pour une belle journée d'Anniversaire...

Prendre une boîte basique en métal, un joli papier fleuri de scrap, quelques accessoires,

de la gaze stérile, un bon thé bio de belle origine, un soupçon de patience,

une grosse pincée d'envie de faire plaisir

et de réjouir les pupilles

avant les papilles...

Puis, préparer des biscuits délicatement parfumés

à la vanille, au fenouil et à l'huile d'olive

qui se marieront agréablement

au thé...

S'installer et déguster...

Joyeux Anniversaire, Nicole !

La Hague, ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il arrache les ailes des papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin, vit une poignée d'hommes, aussi âpres que leur terre sur laquelle est venue se réfugier la narratrice depuis l'automne. Employée par le centre ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et leurs oiseaux migrateurs.

La première fois qu'elle voit Lambert, c'est un jour de grande tempête. Sur la plage dévastée, la vieille Nan que tout le monde craint et dit à moitié folle, croit reconnaître en lui, le visage d'un certain Michel. D'autres au village ont pour lui des regards étranges. Comme Lili au comptoir de son bar ou Théo, son père, l'ancien gardien du phare..L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme l'attire. Elle-même qui est venu là pour faire le deuil de l'homme qu'elle a aimé reconnaît en Lambert une souffrance.

Il y a tous les personnages autour, Max, un peu fêlé, Raphaël le sculpteur et sa soeur Morganne, monsieur Anselme, amoureux de Prévert, la Mère, vieille femme pétrie de silences et de souffrances...L'histoire du village, des personnages vont permettre à la narratrice de sortir un peu de sa douleur et lui permettre de se rouvrir à la vie. Lambert, cabossé aussi, respecte ses silences, ses sauvageries, il l'apprivoise patiemment.

Et l'auteur nous raconte en toile de fond une nature belle et sauvage qui façonne hommes et femmes qui  réussissent à s'en accommoder...

J'ai beaucoup aimé ce livre qui est un de mes meilleurs souvenirs de lecture de l'année écoulée. L'écriture de Claudie Gallay est à l'image de ce qu'elle décrit, parfois aussi âpre et forte. Les personnages sont tous magnifiques d'humanité, on ne s'y attache pas forcément facilement , mais au fil des pages j'ai été envoûtée par la beauté de l'histoire, des histoires. Il y a celle de la narratrice et celles du village...Il se dégage un climat très particulier de ce livre, que l'auteur crée avec une économie de mots étonnante compte tenu de l'effet produit: j'étais là-bas sur cette pointe battue par les vents, je sentais les odeurs de la lande... Un livre ensorcelant d'une densité exceptionnelle.

Mon petit bricolage de l'après-midi...

Une tête d'hortensia séché oubliée dans la grange

a retrouvé une nouvelle vie,

sur un coeur de fil de fer...

***** Les étoiles

s'installent sur les blogs,

et dans les maisons

c'est un joli motif

dont le seul nom fait rêver  ***** 

*

installée devant mon ordinateur, il me suffit de lever les yeux...

*****

D'une autre lucarne, je vois....(un matin avec le soleil levant)

*****

Le roman débute dans l'église arménienne de Paris dont le chef de choeur, d'origine chilienne est retrouvé assassiné. Le modus opérandi relève du génie maléfique: la perforation inexplicable des tympans de la victime. Le titre prend alors toute son ampleur. Le Miserere d'Allegri composé vers 1630, était uniquement chanté par des voix d'enfants dont l'une était censé atteindre le son le plus pur. Le plus aigu. Très vite d'autres meurtres surviennent aux rituels macabres et les enquêteurs d'une part se rendent compte de disparitions inexpliquées d'enfants dans plusieurs chorales, acquièrent d'autre part la conviction que des enfants sont mêlés à ces meurtres. Les enquêteurs, parlons-en, un couple improbable formé de Lionel Kasdan, vieux briscard à la retraite, c'est lui que le prêtre appelle en premier, c'est « son » église, il va en faire une affaire personnelle, et Cédric Volokine, jeune russe affecté à la brigade des mineurs, toxico en pleine désintox, vont se démener en marge de l'enquête officielle pour percer le mystère...

Si l'histoire en elle-même est très sombre, avec un scénario très documenté mêlant fiction et faits historiques de l'histoire contemporaine, ce que j'ai préféré dans ce thriller, c'est la personnalité complexe, attachante des personnages principaux, les deux enquêteurs, qui portent leur propre fardeau de douleurs enfouies et qui se lancent dans cette enquête comme si leur propre vie en dépendait, de fait ils cherchent à exorciser leurs démons...

J'ai toujours aimé les polars et les thrillers, mais plus le temps passe et plus je m'interroge sur l'attraction que ce genre de livres exerce sur moi. Je déteste la violence, et il m'arrive après certains de ces romans de dire stop je ne lis plus çà, j'ai eu ma dose, il me faut maintenant du doux, du tendre, autre chose en tous cas. Et pourtant j'y reviens... Peut-être est-ce une manière d'exorciser la violence et la peur de la violence, de la maintenir à distance...

"Je n'ai tant de chance que parce que tu m'aimes"

Goethe

♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Il y a quelques étés au Pays Basque, j'étais tombée amoureuse d'un lutrin ancien dans une vente aux enchères, renseignement pris sur l'estimation de son prix , j'avais décidé de tenter ma chance. C'était la première fois et mon coeur battait très fort quand j'ai enchéri... Las, plusieurs antiquaires se le sont disputé et le prix s'est envolé bien au delà de ce que le commissaire priseur m'avait laissé entendre, je m'étais fixé une limite depuis longtemps dépassée...Je n'en ai plus jamais revu, avec les chevalets anciens, les lutrins font partie de ces objets très convoités, donc rares, donc...chers.

Peu après mon anniversaire, je suis rentrée chez Bois et Chiffons, et je suis tombée nez à nez avec ce lutrin patiné gris, qui ne s'est pas fait prier pour me suivre à la maison, où il a, illico presto, trouvé sa place...

En passant à côté, je tourne les pages du livre de photos que j'y ai installé et je pars en voyage...

A la lecture du billet d'humeur de Philippe, de Gris-Bleu, billet qui m'a donné hier matin un fou rire irrépressible, (j'étais seule, hélas ! car je suis sûre qu'il était communicatif !) et que je vous engage vivement à lire, je me suis rappelé une chronique du sociologue Jean-Claude Kaufmann dans le dernier numéro de Psychologies, chronique qui m'avait parue intéressante.

Elle est intitulée « Le piège de la Saint-Valentin ». D'une part il souligne que cette date est stigmatisante pour les célibataires et pour tous ceux dont la vie privée ne correspond pas à la norme conjugale...

D'autre part , il souligne que si cette fête fortement teintée de marketing a pris une telle ampleur, c'est à cause de la culpabilité masculine de ne pas toujours arriver à combler les attentes de leur chérie( attention constante, merveilles...etc) au quotidien. Alors la Saint-Valentin selon lui se présente comme une compensation symbolique, un grand rattrapage obligatoire. Les hommes au début ont béni la chose, un bouquet suffisait pour effacer la culpabilité accumulée depuis des mois; «  les voilà désormais condamnés rituellement aux travaux forcés de l'amour, consistant à être les princes charmants d'un jour » à faire toujours mieux, « les mêmes roses depuis des années risquant de signaler un sentiment un peu fade et routinier, voire un amour en baisse »

Moi qui ne suis pas sociologue, je lui laisse la responsabilité de sa théorie mais j'ai envie d'y mettre mon grain de sel.

Le véritable amour n'a pas besoin de date imposée pour se manifester et ce peut être la Saint-Valentin au mois d'août, non? Quoi que... le rite, si on le sort de cette espèce d'obligation, peut être agréable, la plupart des gens et j'en fais partie, aiment se créer des rituels...

Ensuite pour rebondir sur l'aspect fortement commercial, pour ne pas dire exclusivement commercial, il y a une dérive de notre société que j'abhorre, particulièrement visible à cette époque de l'année, c'est la confusion entre amour et sexe; certes l'un et l'autre sont liés mais on ne peut pas réduire le premier au second !!! Or, allez dans une librairie ou ce qui en tient lieu, vous verrez une table à l'entrée bien en évidence avec du rouge et du rose: la table de la Saint-Valentin avec force coeurs en velours rouge (à vous dégoûter des coeurs !) et qu'y trouverez-vous ? Des livres de sexe et ....c'est tout. Bon, j'exagère, en cherchant bien, vous dénicherez un malheureux livre de citations, un peu caché, tout honteux de se trouver là, fourvoyé dans cet univers uniquement dédié à la performance sexuelle...

Oublions la Saint-Valentin ou réinventons- là !

Malgré le froid vif revenu en force, quelques jours très doux ont suffi à Dame Nature la généreuse, pour faire éclore ces petites fleurs humbles et discrètes que j'affectionne, la ravissante anémone , la pulmonaire qui hésite entre le bleu vif et le rose, le lumineux cognassier du Japon qui dépassait d' une haie sur mon chemin...J'ai même aperçu quelques délicates violettes...

Vingt-quatre heures après leur cueillette, les anémones sont épanouies...

Si elle était un des quatre éléments, elle serait le feu, symbole de passion

Si elle était un océan, elle serait le Pacifique avec ses courants contradictoires

Si elle était un phénomène naturel, elle serait un arc en ciel

Si elle était un talent, elle serait le don de l'écoute et des mots justes pour mettre du baume sur les maux

Si elle était un lieu, elle serait le Cabanon où elle se ressource au milieu des oliviers et des lauriers roses

Si elle était une fleur, elle serait une rose Pierre de Ronsard

Si elle était un animal, elle serait un chat élégant avec une personnalité attachante, le Sacré de Birmanie

Si elle était une héroïne de série télé, elle serait à la fois Bree, Susan, Lynette et Gabrielle des Desperate Housewives

Si elle était une peur, elle serait la peur de la solitude

Si elle était une qualité, elle serait l'enthousiasme personnifié

Si elle était un insecte, elle serait une généreuse cigale

Si elle était un plat, elle serait un plat régressif de coquillettes au jambon mixé ou un plat gastronomique

Si elle était une arme, elle serait une arme automatique, une mitraillette ...à paroles

Si elle était un sport, elle serait l'équitation

Si elle était une habitation, elle serait un loft

Si elle était une boisson, elle serait du pétillant et festif champagne rosé

Si elle était une maxime, elle serait « carpe diem »

Si elle était une couleur, elle serait le rouge qui ne laisse personne indifférent

♥ ♥ ♥

Aujourd'hui, elle a 30 ans!

Joyeux Anniversaire, ma Grande, reçois nos plus douces pensées, avec tout notre amour.

Hier soir des amis sont venus dîner, c'était l'occasion d'étrenner de nouvelles assiettes roses (je n'ai pas résisté à la tentation !) et de charmantes serviettes au motif XVIIIième...

Nos amis sont tous deux musiciens, je leur ai fait un petit clin d'oeil avec des ronds de serviette "partition de musique", une bande de carton ondulé gris, une ligne de musique centrée dessus et un papillon à l'emporte pièce pour rappeler les couleurs de la déco...